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Journée ensoleillée dans le nord de l’Oise aujourd’hui pour le CPM #8.
A mon arrivée, avec à mon regret quelques minutes de retard dues à la distance à parcourir, une brocante à St Leu, un départ un peu tardif, je découvre que notre Chef, le Préz, a déjà installé plein de parcours :
– un 8
– un cercle
– un décalé lent avec balles de tennis (et oui, le chef sait être sadique)
– un parcours de lenteur avec des cônes espacés de 3 m pour finir sur 2,70m

La journée peut commencer, après avoir fait honneur à un café et croissants/pains au chocolat offerts par Bruno (super, merci !).

Je découvre également Stéphane, nouveau Casimir qui nous rejoint, et sa Suz’ GS500 un poil capricieuse. A 15 jours du CAMABC, le Prez me le confie. Vas-y, qu’il me dit, entraine-toi pour ton épreuve !
J’introduis avec Stéphane, sur la base d’un 8 non contraint composé de 2 cônes uniquement, les fondamentaux sur la position, points d’appuis, mobilité du haut du corps. On dose d’un zeste de trajectoire, de regard, et on travaille également le point de patinage, principalement à l’arrêt. La fatigue apparaissant, on débriefe en revoyant les points importants.
Pendant que le Prez faisait suer nos chères marmottes, peu à l’aise en cette reprise, on note en cette sortie d’hiver une rigidité encore présente chez tous. Les cous et les épaules restent figés. Vivement que la température remonte et que nos Casimirs se détendent :-).
Constatant la difficulté du parcours pour nos chères ouailles, et ayant envie de tâter au circuit, je craque : j’enfourche la moto et discrètement m’en vais essayer. Bon, ça passe. Le chef goguenard me mate et m’interpelle : « Tu vois bien que ça passe ».
Après discussion, il s’est inspiré de l’ancien parcours Visa 2 pour le retour de nos Casimirs enfin sortis de leur léthargie hivernale.
Il est quand même fort le Chef, hein.
Les exercices se déroulent et la fin de matinée se clôt sur le freinage (la théorie) et quelques apartés sur l’expérience – comportement relatifs à une mauvaise et récente expérience relatée par Bruno.
Le groupe se scinde en 3 pour le repas. D’un côté, le chef qui rentre le matos et reviendra en moto pour l’après midi. De l’autre, les « autres », qui se séparent entre Pomme de Pain et restaurant d’autoroute.

Arrive l’après-midi et on change de spot pour l’exercice de freinage. 40 km/h, freinage de l’arrière, puis freinage de l’avant, puis freinage avant/arrière. Las, la GS500 dudit Stéphane craque sous la pression et nous fait le coup de la panne. Redémarrée à la poussette, on accompagne en convoi Stéphane chez lui, n’osant pas le laisser seul en tête à tête avec la récalcitrante. On revient en faisant une séance de virages, après avoir exposé l’approche EDSR utilisée par les gendarmes.
Et voilà, appelé par d’autres obligations, je quitte le groupe qui débriefe sous l’égide du chef.

Merci aux Casimirs, et merci au Chef !
Cédric

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